*Tchak ! N°20 - Un nouveau superprédateur

*Tchak ! N°20 - Un nouveau superprédateur

Prix de vente : 16.99 € l'unité 

  • Livre
  • Prix public : 16.99  €
  • Producteur : Tchak!
  • Type produit : Non alimentaire

Produit commandable jusqu'à 1 jour(s) avant la livraison

*Tchak ! N°20 - Un nouveau superprédateur

Le 20° numéro de Tchak — La revue paysanne et citoyenne qui tranche (hiver 24-25) est en vente à partir du mardi 17 décembre.

À la Une, notre enquête Pêche en mer du Nordun nouveau prédateur. Cap sur Ostende et Zeebruges. Nous y avons lancé nos lignes durant plusieurs semaines. Et nous en avons ramené quelques belles prises: 

  • En 20 ans, plus de la moitié des bateaux de pêche belges ont disparu. Ceux qui résistent, toujours plus gros, doivent se livrer une bataille internationale. À bord, l’émoi grandit depuis qu’une nouvelle technique de pêche venue de l’étranger – le flyshoot – torpille les ressources. 
  • La mer du Nord a perdu plus de 90 % de ses gros poissons. Pourtant, les chaluts belges continuent à en racler les fonds, y compris dans les aires protégées. Faut-il bouder la pêche locale ? Scientifiques et associations invitent à lui laisser le temps d’évoluer. 
  • Pintafish est un grossiste en poisson. Basée en Flandre, l’entreprise est l’une des seules en Belgique à s’engager pour du poisson de saison, non surpêché et équitable. Elle livre une dizaine de lieux à Bruxelles et en Wallonie. Regard sur les filières.  

Cette couverture est signée par Joseph K. Roman et Adèle Peers.

Également au sommaire de ce 20° numéro : 

  • Guerre : en Palestine, cultiver, c’est résister
  • Maladie de la langue bleue, les raisons d’un fiasco
  • Colorants alimentaires : des risques pour les enfants
  • Précarité alimentaire : Christine Mahy plaide pour « un droit à l’aisance »
  • Vergers : nos conseils pour ne pas se planter
  • Grande distribution : les data clients, poule aux œufs d’or
  • Des paysans ivoiriens contre le groupe belge Siat

Tchak est une revue trimestrielle sur les dessous de notre alimentation. Elle s’adresse aux mangeurs et aux mangeuses qui veulent comprendre le monde paysan. Elle explore les facettes d’une transition alimentaire solidaire, durable sur le plan écologique, innovante sur les plans politique, socio-économique, culturel, ou encore soucieuse de la santé publique. Elle questionne les pratiques de l’industrie agroalimentaire et de la grande distribution. 

Tchak adhère au code de déontologie journalistique

Tchak — La revue paysanne et citoyenne qui tranche est disponible via abonnement (60 € pour quatre numéros), ou via vente au numéro (17 €) dans le réseau des librairies indépendantes, dans nos propres points de vente ou encore en ligne.