*Tchak ! n°15 - L'essentiel est invisible pour les yeux

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*Tchak ! n°15 - L'essentiel est invisible pour les yeux

À la une, notre dossier sur les coûts cachés de la malbouffe : •L’alimentation low cost nous coûte en réalité très cher, en tant que société. Le modèle industriel génère des dommages sur notre santé et notre environnement. Et c’est toute la collectivité qui doit payer pour soigner les gens rendus malades et réparer les écosystèmes meurtris. Pendant ce temps-là, les entreprises responsables de ces dégâts s’en lavent les mains. Au cœur de ce numéro, notre enquête « Petits producteurs vs AFSCA : faux scandales, vrai malaise » : •Les inspections de routine de l’AFSCA, l’Agence fédérale en charge de la sécurité de la chaîne alimentaire, sont jugées parfois trop pointilleuses, parfois pas assez, stressantes certes, mais nécessaires. Le malaise est plus profond. En réalité, il déborde largement de la sphère de ses compétences. •Les petits producteurs éprouvent un manque de considération sociétal, inscrit dans des lois qui n’ont pas été pensées pour eux. Une tuile sanitaire, et c’est le projet d’une vie qui tangue. Parfois incriminés à tort, parfois contraints de jeter des produits sains. Sans indemnisation. Coopératives de distribution, boucheries à la ferme ou petits abattoirs sont mis sur le même pied que des entreprises qui exportent dans le monde entier. •L’AFSCA n’est pas en guerre contre les spécialités de terroir. Mais le financement d’études scientifiques susceptibles d’alléger la gestion des risques dans les fermes et petits ateliers artisanaux n’est pas la priorité des autorités. Pendant ce temps, les multinationales de l’alimentaire refourguent leurs plats transformés remplis d’ingrédients importés dont la teneur en pesticides est très peu contrôlée. Également au sommaire de ce 15° numéro : •Humeur : Kazidomi, l’e-commerce branché, mais déconnecté •Certification bio : le jackpot continue pour Certisys •Portrait : Marie-Claire Wylock : la liberté retrouvée •Supermarchés : des poubelles qui regorgent de nourriture •Agro-industrie : l’amidon, une molécule qui masque l’essentiel •Incendies en Sicile : la colère de Galline Felici •Interview : Patrick Bougeard, 73 ans de lutte paysanne chevillée au corps •Pesticides et métabolites dans l’eau potable : le grand flou •Coopérative Ardelaine (France) : une fabrique du territoire •Distribution en Europe : « On devrait prendre exemple sur les circuits nord-sud » •Filtre, capsule & Co : on vous dit tout sur la meilleure façon de faire du café [...]   Enfin, 15 pages sur l’actualité des régions en matière de nouveaux producteurs et d’artisans-transformateurs, de création de coopératives et de magasins à la ferme, de luttes paysannes, etc. Tchak est une revue trimestrielle de 112 pages sur les dessous de notre alimentation. Elle s’adresse aux mangeurs et aux mangeuses qui veulent se reconnecter avec le monde paysan. Elle explore les facettes d’une transition alimentaire solidaire, durable sur le plan écologique, innovante sur les plans politique, socio-économique, culturel, ou encore soucieuse de la santé publique. Elle questionne les pratiques de l’industrie agroalimentaire et de la grande distribution. Elle adhère au code de déontologie journalistique. Tchak — La revue paysanne et citoyenne qui tranche est disponible via abonnement (60 € pour quatre numéros), ou via vente au numéro (17 €) dans le réseau des librairies indépendantes ou nos points de vente indépendants. Yves Raisiere | Journaliste | Rédacteur en chef +32 475 80 35 34 | yrai@tchak.be